La Méthode A.R.T. de Vivre : personnel et relationnel

La Méthode A.R.T. de Vivre

La Méthode A.R.T. de Vivre : Un chemin vers l’épanouissement personnel et relationnel

La quête de soi, de bien-être et de relations épanouissantes est au cœur de nos préoccupations modernes. Entre pressions sociales, aspirations personnelles et conflits intérieurs, il peut sembler difficile de trouver un équilibre. C’est dans ce contexte que la Méthode A.R.T. de Vivre se présente comme un outil puissant pour aider chacun à naviguer vers une vie plus sereine et harmonieuse. Composée de trois étapes essentielles : Acceptation, Reconnaissance, et Transformation, cette méthode vous invite à réconcilier vos aspirations avec vos émotions et vos comportements pour créer des relations authentiques et équilibrées.

1. Acceptation : Accueillir ce qui est, sans jugement

La première étape de la méthode A.R.T. de Vivre est celle de l’acceptation. Il ne s’agit pas de se résigner, mais de reconnaître et d’accepter ce qui se présente dans le moment présent. Dans un monde où nous sommes souvent invités à fuir nos émotions ou à dissimuler nos fragilités, l’acceptation nous invite à ralentir, à observer nos sensations sans jugement et sans vouloir immédiatement les transformer.
L’acceptation, c’est reconnaître que ce que nous vivons aujourd’hui, dans nos relations avec nous-mêmes et les autres, fait partie du chemin. C’est prendre le temps d’être avec soi-même, dans son corps et dans ses émotions, pour comprendre ce qui nous freine, nous bloque ou nous crée de la souffrance. C’est un acte de bienveillance envers soi, qui permet de se libérer des jugements et des attentes extérieures.

2. Reconnaissance : Se responsabiliser pour créer du sens

La deuxième étape de la méthode A.R.T. est celle de la reconnaissance. C’est ici que l’on aborde la notion de responsabilité qui va bien au-delà du simple fait d’assumer ses actions. Dans le cadre de la méthode A.R.T., la responsabilité est comprise comme Réponse Habileté. Il ne s’agit pas de se culpabiliser ou de se focaliser sur ses erreurs passées, mais de comprendre que chaque moment offre l’opportunité de répondre de manière ajustée à notre environnement.
La Réponse Habileté est la capacité de prendre conscience de nos mécanismes internes (émotions, croyances, biais, besoins) et de nos réactions face aux événements extérieurs. Cela inclut aussi notre manière de nous positionner dans nos relations avec les autres. Chaque situation, chaque interaction peut devenir un terrain d’apprentissage.
Par exemple, au lieu de réagir avec frustration ou colère face à une situation qui ne nous convient pas, la reconnaissance nous permet de développer une réponse plus adaptée : celle qui nous permet de nous affirmer tout en respectant l’autre, de poser des limites sans violence, de dire « non » sans culpabilité.
Cette habileté à répondre ne concerne pas seulement nos interactions sociales mais aussi notre relation avec nous-mêmes. Lorsque nous comprenons nos mécanismes internes, nous pouvons développer des pratiques plus saines de gestion des émotions, de satisfaction des besoins ou de résilience du stress. Cela permet de renforcer la confiance en soi et de créer des bases solides pour des relations harmonieuses, aussi bien avec soi-même qu’avec les autres.

3. Transformation : Créer un espace pour la nouveauté

La dernière étape, celle de la transformation, est celle où l’on change nos habitudes, nos schémas de pensée et nos comportements pour créer un avenir plus en accord avec nos aspirations. Cette transformation ne vient pas d’un changement radical ou forcé, mais de l’intégration des étapes précédentes.
En prenant conscience de nos émotions, en les acceptant et en apprenant à répondre de manière plus habile à notre environnement, nous nous offrons la possibilité de changer profondément. Ce changement ne signifie pas seulement une évolution dans nos relations interpersonnelles, mais aussi une profonde transformation intérieure.
Cette transformation nous invite à envisager une vie où nous pouvons pleinement être nous-mêmes, avec nos forces et nos fragilités, tout en cultivant des relations saines et épanouissantes. C’est un chemin où la confiance en soi et en l’autre devient le moteur d’une vie plus sereine et épanouie.

Pourquoi la méthode A.R.T. de Vivre peut-elle transformer votre vie ?

La méthode A.R.T. de Vivre est une invitation l’introspection, à la réflexion et à l’action. Elle offre un cadre structuré qui permet de s’orienter vers une vie plus alignée avec nos désirs profonds, tout en respectant nos émotions et nos besoins.
En appliquant les principes de l’acceptation, de la reconnaissance et de la transformation, nous pouvons ouvrir un espace de changement. Ce changement se produit petit à petit, avec patience et bienveillance, sans chercher à contrôler ni à forcer le processus.

Si vous ressentez le besoin de mieux comprendre cette méthode et d’explorer comment elle peut s’appliquer à votre vie personnelle, je vous invite à me contacter. Ensemble, nous pourrons aborder ces principes et les adapter à vos besoins spécifiques, pour que vous puissiez vivre une vie plus épanouissante et en harmonie avec vous-même.

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Anxiété sociale et prospérité professionnelle

L'anxiété sociale au travail

L’anxiété sociale, également appelée phobie sociale, se caractérise par une peur intense des situations sociales où l’individu craint d’être jugé ou évalué négativement. Dans le milieu professionnel, cette anxiété peut entraver l’épanouissement et la progression de carrière. Il est donc essentiel d’identifier les signes de l’anxiété sociale, notamment lors des réunions, des interactions entre collègues et des entretiens d’embauche, afin de mettre en place des stratégies adaptées.

Signes d’anxiété sociale en milieu professionnel :

  1. Réunions :
    • Évitement de la prise de parole : Les personnes concernées peuvent éviter de s’exprimer, de partager des idées ou de poser des questions, par crainte du jugement ou de l’évaluation négative de leurs collègues.
    • Inconfort visible : Manifestations physiques telles que rougissements, transpiration excessive, tremblements ou balbutiements lors des interventions en public.
    • Préparation excessive : Une préparation minutieuse, voire excessive, avant les réunions pour anticiper toutes les questions possibles, reflétant une peur de l’imprévu et du jugement.
  2. Interactions entre collègues :
    • Isolement : Tendance à éviter les interactions informelles, comme les pauses-café ou les déjeuners en groupe, préférant rester seul pour ne pas être confronté à des situations sociales anxiogènes.
    • Difficulté à établir des relations : Peine à créer des liens ou à participer à des discussions informelles, pouvant être perçue à tort comme de la froideur ou un manque d’intérêt.
    • Comportements d’évitement : Éviter le contact visuel, rester en retrait lors des discussions de groupe ou déléguer des tâches nécessitant une interaction sociale.
  3. Entretiens d’embauche :
    • Stress intense : Anxiété disproportionnée avant et pendant l’entretien, se traduisant par des symptômes physiques tels que des nausées, des maux de tête ou une accélération du rythme cardiaque.
    • Discours hésitant : Difficulté à articuler ses compétences et expériences, avec des réponses courtes ou vagues, par peur d’être jugé ou de dire quelque chose de déplacé.
    • Auto-sabotage : Tendance à minimiser ses réalisations ou à exprimer des doutes sur ses capacités, reflétant une faible estime de soi liée à l’anxiété sociale.

Conséquences sur la carrière :

L’anxiété sociale peut limiter les opportunités professionnelles, notamment en conduisant à refuser des promotions ou des postes à responsabilités par peur des interactions sociales accrues. Elle peut également affecter la perception par les collègues et supérieurs, entraînant une sous-estimation des compétences réelles de l’individu.

Stratégies pour gérer l’anxiété sociale au travail :

  • Thérapie cognitivo-comportementale (TCC) : Cette approche aide à identifier et à modifier les pensées négatives liées aux situations sociales, favorisant des comportements plus adaptés.
  • Techniques de relaxation : La pratique régulière de la respiration profonde, de la méditation ou du yoga peut réduire les symptômes physiques de l’anxiété.
  • Exposition graduelle : S’exposer progressivement aux situations redoutées, en commençant par des interactions moins stressantes, permet de diminuer l’anxiété associée.
  • Développement des compétences sociales : Participer à des ateliers ou des formations pour améliorer la communication et renforcer la confiance en soi dans les interactions professionnelles.

Il est important de noter que l’anxiété sociale est un trouble reconnu qui peut être atténué avec un accompagnement approprié. Les personnes concernées sont encouragées à consulter des professionnels spécialisés pour élaborer un plan d’action adapté à leur situation spécifique.

Mon accompagnement pour surmonter l’anxiété sociale au travail

En tant que Gestalt-Praticien, j’accompagne les personnes souffrant d’anxiété sociale grâce à une approche humaniste et intégrative. Mon travail s’appuie sur :

  • La Gestalt-thérapie : Une approche centrée sur la prise de conscience de soi et de ses schémas relationnels. Elle permet d’explorer les blocages émotionnels et relationnels dans un cadre bienveillant, et de travailler sur la manière dont ces blocages se manifestent au travail, en famille et dans la relation amoureuse établie tout comme dans la recherche de la relation intime.
  • Les techniques issues de la TCC : Je propose des exercices ciblés pour identifier et transformer les pensées automatiques négatives, en les remplaçant par des comportements plus adaptés et sereins.

Grâce à ces approches, je vous aide à mieux comprendre vos réactions dans les interactions sociales, à prendre confiance en vous et à aborder les situations professionnelles avec plus de sérénité et d’authenticité.

N’hésitez pas à me contacter pour en discuter ou pour entamer un travail sur cette problématique qui peut fortement impacter votre bien-être professionnel et personnel.

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