Relations Épanouissantes : Attachement et l’Estime de Soi

Comment créer et vivre des relations épanouissantes ?

Cultiver des Relations Épanouissantes : Les Fondations de l’Attachement et de l’Estime de Soi

Développer des relations saines et équilibrées est essentiel pour une vie épanouissante. Dès l’enfance, nos capacités d’attachement se développent, influencées par les interactions avec nos figures parentales. L’estime de soi, elle, évolue tout au long de la vie, en fonction de nos expériences personnelles. En Gestalt Thérapie intégrative, nous revisitons ces expériences avec bienveillance, permettant de libérer les blocages et de cultiver des relations épanouissantes.

Clés pour une Relation Apaisée : Attachement et Sécurité

L’attachement, acquis entre 0 et 3 ans, se construit souvent à travers les soins maternels. Si les besoins de l’enfant sont satisfaits, il apprend à se sentir en sécurité et à donner et recevoir de l’amour de manière sereine.

Exemple  :
Imaginez un enfant qui grandit dans un environnement rassurant, où ses émotions sont accueillies. Adulte, il aura plus de facilité à exprimer ses besoins et ses sentiments dans une relation. À l’inverse, une personne ayant connu un attachement insécurisant pourrait ressentir de l’anxiété relationnelle et craindre l’abandon. En thérapie, revisiter ces expériences permet de réparer les schémas non fonctionnels et de recréer des liens plus solides.

Les Capacités de l’Attachement

Pour des relations équilibrées, certaines compétences sont essentielles, et elles se développent dans trois domaines :

  • Relation à soi : développer la sécurité intérieure, reconnaître et accepter ses émotions et ses besoins.
  • Relation aux autres : oser le contact, exprimer ses besoins, et s’engager de manière apaisée et durable.
  • Relation de couple : trouver le/la partenaire adéquat(e), vivre l’intimité, accepter la l’inter-dépendance réciproque et traverser les moments de crise sans s’effondrer.

Exemple :
Dans un couple, les conflits sont inévitables, mais ils peuvent être l’occasion d’approfondir la relation. Un partenaire avec un attachement sécurisant sera plus à même de discuter calmement, d’écouter les besoins de l’autre et de rétablir un équilibre après un désaccord. À l’inverse, une personne avec un attachement insécure pourra ressentir une peur intense de perdre l’autre et réagir de manière évitante, défensive ou agressive.

L’Estime de Soi et la Confiance en Soi : Piliers de l’Épanouissement

L‘estime de soi se construit sous le regard parental et évolue au gré de nos succès et de nos échecs. Une bonne estime de soi permet de se sentir confiant et digne, d’oser s’affirmer, de se respecter et de se réaliser pleinement.

Les Fondations de l’Estime de Soi :

  • Se donner une juste valeur et ne pas dépendre du regard des autres.
  • Réussir à réaliser ses objectifs et mobiliser l’énergie nécessaire.
  • Discerner la culpabilité inutile et s’attribuer une juste part de responsabilité.

Exemple :
Pensez à un employé qui reçoit une critique constructive. Une personne avec une bonne estime de soi pourra accueillir cette critique sans se sentir remise en question dans sa valeur personnelle. Au contraire, une personne avec une faible estime de soi pourrait se sentir accablée et voir sa confiance en soi affectée. Travailler sur l’estime de soi en Gestalt Thérapie permet de trouver une stabilité intérieure et d’éviter ces schémas auto-saboteurs.

Se Réaliser et Trouver Sa Place dans la Vie

Se sentir bien dans la vie nécessite une capacité à s’accorder de la valeur et à trouver la place qui nous correspond. Cela repose sur la perception de soi et de ses capacités, qui détermine la qualité des choix que l’on fait.

Exemple :
Supposons que vous soyez à un tournant professionnel, hésitant entre plusieurs options. Une bonne estime de soi vous aide à évaluer vos besoins réels et vos valeurs, vous permettant de faire un choix aligné avec vos aspirations. Cela pourrait inclure l’audace de quitter un emploi stable pour une opportunité qui reflète mieux vos passions.

Conclusion : Vers une Vie Apaisée et Épanouissante

La Gestalt Thérapie intégrative est une démarche puissante pour explorer ces aspects fondamentaux de l’attachement et de l’estime de soi. Bien que nos proches jouent un rôle clé dans notre vie, seul un professionnel bienveillant peut offrir l’espace sécurisé nécessaire pour revisiter ces dimensions.

En cultivant ces bases solides, vous pourrez ainsi aborder la vie avec plus de confiance, construire des relations épanouissantes et vivre pleinement votre potentiel.

Si vous souhaitez approfondir la théorie : ici

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Psychothérapie de l’Ici et Maintenant

Gestalt, une thérapie de l'ici et maintenant

Qu’est ce que l’ici & maintenant ?

Vous entendez souvent parler de « l’Ici & Maintenant » mais qu’est ce que c’est au fond ?
Après tout on ne peut pas vivre sans prévoir ou sans se souvenir. Alors cette histoire d’ici et maintenant, c’est juste une fable pour les rêveurs, hippies perchés et autres illuminés, non ?


Si c’est ce que vous pensez, je vous propose de prendre un instant pour vous poser là.
Demandez vous à vous-même où se trouve votre vie ?
Croyez vous que votre vie se trouve dans vos souvenirs ?
Croyez vous que votre vie se trouve dans ce que vous ferez demain, pour Noël, dans dix ans, lorsque vous serez à la retraite ou bien mort ?
Ou peut être votre vie est elle un aller-retour entre vos souvenirs ou vos projections ?

A quel moment avez vous été le plus heureux dans votre vie si ce n’est dans un Ici & Maintenant ?

L’ESPRIT HUMAIN PEUT FONCTIONNER DE MULTIPLES MANIÈRES.

Une d’elle, la plus commune, consiste à fluctuer entre le souvenir et la projection.
Par exemple lorsque nous désirons un objet qui nous « comblera de bonheur », nous projetons une image du plaisir que nous pourrions ressentir quand nous le posséderons. Mais en réalité nous créons en nous-même un manque, une attirance vers le futur et une frustration dans notre présent.
Soit nous n’obtiendrons jamais cette chose et passerons notre existence dans le manque et la frustration, soit nous acquérons cette chose que nous convoitons et tout en ayant l’impression d’avoir abouti, nous en faisons un souvenir, c’est à dire le manque de ce que nous désirions en essayant de retrouver une sensation. Mais la sensation n’existe que dans l’Ici et maintenant. C’est un peu comme essayer de se remémorer un rêve.
Ce que nous faisons c’est créer en nous un manque puis nous n’avons de cesse que d’y mettre fin, pour recréer un nouveau manque et ainsi de suite, en fuyant l’instant présent.
La remémoration de l’instant où nous avons fini de désirer l’objet est elle même une frustration.
Il ne nous reste plus qu’à trouver un nouveau désir pour un autre manque.
Cette façon de traverser la vie, c’est un peu comme monter dans un avion qui n’atterrit jamais, jusqu’à ce que … faute de carburant l’avion ne se crashe.
C’est vivre dans un rêve perpétuel, une image mentale de la réalité entre espoir et désespoir.
Vous n’avez aucun pouvoir dans un rêve, vous ne pouvez pas diriger vos rêves et encore moins vos cauchemars.

PRENONS UN AUTRE EXEMPLE, LE SEXE.

Il existe bien des façons de faire l’amour. Celui ou celle qui est dans l’attitude que je décris (projection/souvenir) s’identifie à son désir, à ses pensées et n’aura pour seul objectif que d’atteindre l’orgasme, c’est son but. L’objet de son désir est sa finitude, il/elle rêve de ce qu’il/elle fait.
C’est une attitude égotique, ce n’est pas un partage, chacun étant dans son rêve.
C’est le désir de finir le désir.
Une fois l’orgasme passé il ne reste plus rien que du vide. Ce n’est pas que l’orgasme soit une mauvaise chose, c’est qu’en faire un objectif masque la beauté de ce qu’est faire l’Amour.
Combien de femmes n’ont jamais connu de vrai orgasme simplement parce que leur partenaire se focalise sur le but et non sur l’expérience ?

C’est la même chose pour la vie, si vous focalisez sur la finitude, vous ne vivez pas, vous mourrez.

EN QUOI CELA EST IL NÉFASTE ?

Cela nous rend dépendant. Nous ne sommes pas dépendant des choses, du tabac, de l’alcool, du sexe, nous sommes dépendants des phénomènes, des sensations qu’elles provoquent en nous. La projection permanente nous rend dépendants à la frustration car elle nous donne l’illusion d’exister. 

Mais c’est oublier que le manque … C’est la souffrance.


Partout où nous portons de manière prolongée notre attention, nos neurones s’activent pour créer des connexions. Plus nous focalisons sur les choses, plus nous créons de l’attachement pour ces choses. Alors Lorsque nous en remplissons notre vie de manque, que faisons nous ?
Et cela dépasse même notre propre personne car nous tous sommes le monde dans lequel nous vivons. Nous créons tous ensemble les conditions propices à la réalisation de notre désir de manque, de frustration, de souffrance. Pour s’en rendre compte il suffit d’observer, tout est là sous nos yeux.
Mais pour observer il est nécessaire d’être dans l’instant présent, Ici et Maintenant.



Être dans l’instant présent, Ici et Maintenant c’est vivre, c’est exister pleinement, c’est voir toutes les facettes du diamant.
C’est observer tout ce qui est observable, ressentir tout ce qui est en nous et autour de nous. C’est apprécier le voyage, la chance qui nous est donnée de faire l’expérience de la vie. Tout le reste n’est qu’une illusion. La vie, l’expérience de la vie n’est qu’a l’intérieur de nous même. Tout ce qui nous projette en dehors de l’Ici et Maintenant nous projette en dehors de nous-même dans un rêve qui n’est pas notre existence, qui n’est qu’une facette du diamant.

L’Ici & maintenant

C’est se détacher de la sensation pour Être sans subir, c’est cesser de confondre le Soi avec sa forme, avec son image, avec la pensée. C’est cesser de souffrir.

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Les enjeux de développement

Les enjeux de développement

On parle d’enjeux parce que le développement d’une personne est un processus dont le résultat est incertain. Ce processus est soumis à l’environnement dès les premiers instants de la vie. Les enfants ont une capacité naturelle à être dans la joie, à prendre le bon. Quand leur environnement est positif, que les bons ingrédients sont présents, il leur fournit plus de facteurs de résilience que de facteurs de risque.

« Pourquoi certaines personnes ont gardé cette capacité juvénile de bonheur alors que d’autres l’on perdu ? »

Des études ont permis de constater qu’il existe des constantes dans le développement d’une personne. Quelque soit le moment et le lieu. Chaque bébés ont les mêmes besoins fondamentaux de relation avec leur maman. Puis une fois enfants avec leur père.

Enjeux de l'attachement.

L’attachement

L’attachement est une constante universelle, c’est un enjeu vital. Cet enjeu commence même avant la naissance par la mobilisation de la mère qui redirige toute son attention sur son bébé à naître. Donald W. Winnicot parle de « préoccupation maternelle primaire ».

Pour qu’un nouveau né puisse survivre.

Il est indispensable qu’il ait une figure maternelle à laquelle s’attacher. Celle-ci est significative selon John Bowlby et va permettre la constitution d’une base de sécurité pour l’enfant qui lui permettra d’explorer le monde extérieur en toute sécurité. Cette figure d’attachement que Winnicot appelle « une mère suffisamment bonne » permet à l’enfant de métaboliser un attachement sécure. Cela se construit grâce à l’alternance de stimulations et d’apaisements, à la présence psychique et physique de la mère et à son accordage avec le « bios », le tempérament inné de son bébé et aux réponses quelle donne à la satisfaction de ses besoins.

C’est également une fonction de socialisation.

L’enfant apprend d’abord à communiquer avec ses parents puis acquiert la confiance en l’autre. Ceci durant les 3 premières années qui conditionnent le développement des connexions entre le système Limbique (siège de la mémoire et des émotions) et le lobe préfrontal (en charge de la régulation émotionnelle). Si cette relation particulière entre la mère et son bébé est existante mais déficiente, l’enfant va se développer mais avec des handicapes. Il ne sera pas à même de développer pleinement ses potentiels et apparaîtront des boiteries dans les capacités nécessaires à l’établissement de relations saines et équilibrées, un manque de régulation émotionnel et d’autonomie, voire certains troubles de la santé psychique.

 


Enjeux de l'estime de soi

L’estime de soi :

Tantôt nous nous aimons, tantôt nous nous détestons.

L’estime de soi, c’est « Qui je suis, Mon regard sur moi, Mon amour de moi », et ce que je fais de ma vie avec tout ça. C’est le mélange des regards et des jugements que je porte sur moi. C’est aussi le jugement de moi et le jugement de moi sous le regard des autres. L’estime de soi n’a de sens que dans le cadre de relations sociales. Nous percevons l’existence de l’estime de soi au travers de nos émotions. Elle pèse sur notre bien être intérieur, notre tranquillité et nos inquiétudes. Au travers de nos comportements, spontanéité et blocages sont eux aussi sous son emprise dans nos relations sociales ou dans nos actions.
L’enjeu de l’estime de soi c’est également l’acquisition de la confiance en soi.

L’estime de soi est la résultante du regard sur soi.

Au travers de nos pensées c’est encore notre estime de soi qui fait que notre regard tend à se tourner vers les manques et les menaces ou qu’il se montre capable de voir aussi tout le reste.
L’estime de soi est la résultante du regard sur soi, des émotions que cela entraîne et des comportements que cela induit. Elle est inhérente à la nature humaine et indissociable de la conscience de soi. Nous sommes dotés de la capacité de réfléchir sur nous, cela nous permet de nous analyser, de nous observer et donc de nous changer, de nous adapter, de nous améliorer. Mais l’estime de soi peut également servir à se détester, se mépriser, se critiquer, à se rendre la vie impossible et inconfortable ou encore nous rendre toutes formes d’actions impossible.

Les capacités liées à une bonne estime de soi vont être liées à la confiance en soi.

Cet enjeu d’estime de soi se métabolise en premier lieu sous le regard du père, qui dans le meilleur des cas saura être juste, régulé, cadrant et valorisant. Il s’agit d’un processus émotionnel sans cesse actualisé par le vécu des situations de la vie, les réussites, les échecs, le regard porté sur soi ainsi que le regard des autres et son interprétation. Les capacités liées à une bonne estime de soi vont être liées à la confiance en soi, à l’auto-valorisation, au respect de soi et des autres, à la place que l’on s’accorde dans la vie, à la régulation émotionnelle, à l’image se soi, à l’adaptation à l’environnement …

L’estime de soi va conditionner notre conduite psycho-comportementale, nous permettre de nous déployer ou au contraire nous pousser à nous rétracter. Elle est surtout sensible aux échecs et aux rejets.


 

La Gestalt Thérapie Intégrale permet de revisiter ses enjeux.
Elle apporte les réparations nécessaires à leurs métabolisations offrant ainsi une seconde chance développementale.

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Les capacités de relation :

Capacité Relationnelles

Comment avoir des relations saines

Avoir des relations saines et équilibrées demande d’avoir développé vos capacités de relation. Dans de bonnes conditions, les capacités de l’attachement sont acquises au cours de la petite enfance. Quant à l’estime de soi, elle se construit dès l’enfance et tout au long de la vie.

En Gestalt Thérapie intégrative le travail est de vous amener à revisiter votre vécu de vos expériences de vie, dans la bienveillance et la sécurité.

Vous pourrez ainsi réparer ce qui s’est figé et libérer vos capacités à être en relation saine et équilibrée avec vous même, les autres et le monde.

C’est une porte vers une vie apaisée, vers l’abondance, le bonheur durable, la sécurité et la confiance en vous.

« L’important n’est pas ce que l’on a fait de moi.
L’important c’est ce que je fais de ce que l’on a fait de moi. »
J.P SARTRE

Les clés de la sécurité et des relations apaisées.

Acquises dans la petite enfance entre 0 et 3 ans, les capacités de l’attachement résultent de la relation avec la maman ou une figure maternelle. Si les bonnes conditions sont réunies, elles vont permettre de se sentir en sécurité, de s’accepter et de pouvoir ressentir et recevoir de l’amour de façon apaisée.

Ces capacités ne peuvent pas se réparer seul(e).

Comme elles dépendent de la relation maternelle, ces capacités de relation ne peuvent pas être acquises seul(e). C’est une part majeure du travail en Gestalt thérapie. C’est la relation thérapeutique qui va permettre de rejouer, de revisiter et de réparer les manques de la relation « primaire ». Si vous ne vous reconnaissez pas ces capacités et que vous voulez avoir de meilleures relations, peut être devriez vous envisager de faire quelque chose pour vous-même.

Les capacités de l'attachement

Relation à soi :

  • Éprouver en soi un sentiment de sécurité.
  • Ressentir et percevoir ses émotions et les nommer.
  • Accepter toute la palette des émotions.
  • Percevoir ses besoins.
  • Accepter ses besoins.
  • Être seul(e) de manière créative / créatrice.
  • Se rassurer soi même.

Relation à l'autre :

  • Ressentir un désir de contact et de relation.
  • Exprimer ses besoins.
  • Se sentir rassuré, confiant en présence d’un(e) inconnu(e).
  • Pouvoir éprouver de l’attachement, du lien stable.
  • S’engager de manière apaisée et durable.
  • Accepter l’attachement de l’autre.
  • Pouvoir se détacher de manière sereine et vivre ses émotions.

Relation de couple :

  • Pouvoir choisir une personne parmi les autres et s’engager.
  • Être capable de vivre de l’intimité avec son ou sa partenaire.
  • Accepter d’être partiellement dépendant(e) ponctuellement dans son couple.
  • Accepter sereinement la dépendance partielle et ponctuelle de son partenaire.
  • Pouvoir se rapprocher et pardonner Accepter le rapprochement et le pardon.
  • Ne pas s’effondrer lorsque l’on est quitté.
  • Savoir quitter l’autre de manière humaine et juste.
  • Réussir à se détacher d’une relation toxique.
  • Ne pas perdre pied dans la tempête et rester stable.

Les capacités de l'estime de soi.

  • Être en capacité de se donner une juste valeur.
  • Avoir confiance en soi, dans les autres et dans la vie.
  • Se sentir digne avec ses faiblesse et sa part sombre.
  • Se respecter et respecter les autres.
  • Pouvoir faire des choix en accord avec soi-même.
  • Réussir à réaliser ses objectifs et à mobiliser l’énergie nécessaire.
  • Prendre sa place dans la vie.
  • Réguler la honte et ses émotions.
  • Ressentir une juste fierté.
  • Défendre ses idées de manière ajustée.
  • S’attribuer de la valeur en dehors du regard de l’autre.
  • Recevoir des critiques sans s’effondrer ou sur-attaquer.
  • Avoir une juste image de soi.
  • Discerner la culpabilité inutile et ce qui appartient à l’autre.
  • Être authentique lorsque l’on s’adapte à son environnement..

Les clés de la confiance en soi

Les capacités liées à une bonne estime de soi, s’acquièrent pendant l’enfance sous le regard du père. C’est également l’expérience de nos succès et de nos échecs qui va les alimenter ou les malmener. Elles résultent du regard que vous portez sur vous-même, du regard des autres et de la façon dont vous vous voyez sous le regard des autres. Intimement liées aux relations, elles n’ont d’ailleurs aucun sens en dehors de ce contexte. Quel besoin auriez-vous d’avoir une bonne estime de vous si vous étiez seul(e) sur une île déserte ?
Ainsi les capacités qu’offre une bonne estime de soi sont à même de vous permettre de vous déployer dans la vie de manière sereine.

Trouver sa juste place

Qui êtes vous ? Comment vous regardez vous ? Comment vous aimez vous ?
Ces trois questions sont au cœur de l’estime de soi. D’ailleurs l’estime de soi est une tension permanente de ce trio qui détermine notre aptitude à nous sentir bien dans la vie et à trouver la place qui nous paraît juste. En fonction des capacités que vous acquérez, vous aurez accès à une certaine qualité de vie.
Par exemple, au delà de votre niveau d’étude et de votre emploi actuel, quel salaire estimeriez vous comme juste pour vous ? Que pensez-vous mériter dans la vie ? Quel partenaire, compagnon ou quelle compagne choisiriez vous vraiment ?
Certains auront sans doute tendance à se sur-évaluer, d’autres à se sous-évaluer tandis que peu sauront s’évaluer de manière juste, sans éprouver de gêne émotionnelle particulière, même légère. Tout dépend de votre estime de soi.

En conclusion :

Pour finir, l’attachement ne se répare pas seul(e) et nécessite une thérapie car cet enjeu est lié à une relation particulière que nul dans votre entourage ne peut remplacer. En effet, votre compagnon, votre compagne, vos ami(e)s, votre famille n’ont ni les compétences, ni pour rôle de vous aider objectivement à vous réparer et à revisiter votre passé développemental. En revanche le professionnel que je suis peux vous permettre d’observer les formes particulières qu’a pris pour vous votre vécu.
Bien que plus évolutive, l’estime de soi est liée au regard que l’on porte sur soi et au regard des autres. Aller vers une bonne estime de soi ne pourra donc se faire que sous le regard empathique mais juste du professionnel. Grâce à la relation thérapeutique qui s’établit entre vous et moi ainsi que ma posture résolument axée sur votre intérêt élevé, avec bienveillance, présence et conscience vous pourrez poser le récit de votre histoire et qui vous êtes ici et maintenant.


La Gestalt thérapie intégrative est une excellente approche pour réparer ces deux enjeux et vous permettre d’acquérir les capacités qui vous manquent pour vivre la vie que vous méritez.
A vrai dire, j’en fais moi-même l’expérience au quotidien.
Je veux la partager avec vous et vous aider à trouver confiance en vous et sécurité.

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